PETITION : "Pour des droits égaux pour tous"

Publié le par laur

  

Syndicat C.G.T.  S.P.D.P. / Humanité

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Chez Jacques Laur,

+ : « Le Théron »

46 800 Valprionde

( : 05 65 31 97 88

MOBILE : 06 83 51 83 41

MAIL : laur.jacques@free.fr

 

POUR DES DROITS EGAUX POUR TOUS

 

Nous soussignés, exigeons le respect du droit syndical dans notre service développement du journal l’Humanité qui produit 7000 abonnements par an indispensables à la survie de l’Humanité, et demandons l’ouverture immédiate de réelles, loyales et franches négociations sur les revendications suivantes :

  • La prise en compte de tous les frais engagés pour produire, leur revalorisation -et leur paiement régulier et justifié-
  • La mise en place de la subrogation
  • La suppression du délai de carence
  • La mise en place du 13ème mois
  • Le paiement de tous les jours fériés
  • La mise en place de la sixième semaine de congés payés et le paiement des congés payés lors de « leur prise effective ».
  • L’instauration de la prime d'ancienneté

Ces sept revendications auraient, tout simplement, pour mérite de commencer à traiter équitablement notre corps d’abonneurs en nous donnant des droits identiques aux autres salariés du journal de Jaurès.

 

Nous ne sommes en aucun cas responsables de la situation que rencontre notre journal, nous ne sommes pas des parias et nous méritons la même considération, le même traitement social, les mêmes acquis que tous les autres collaborateurs de l’Humanité. Rien de sérieux n’a été fait depuis la création de notre service en 2001 qui avait vu la mise en place unilatérale et arbitraire d’un statut non négocié qui ne correspond pas du tout aux valeurs que nous affichons, que nous défendons, que nous promotionnons. Il est en totale contradiction avec tous les projets que portent les listes du « Front de Gauche »

 

Nous soussignés, voulons du respect, de la reconnaissance, la prise en compte immédiate des revendications ci-dessus, une remise à niveau urgente, l’instauration réelle d’un vrai dialogue social en dotant nos délégués de moyens normaux, le respect du code du travail, de la convention collective et du bon sens progressiste comme l’aurait fait Jean-Jaurès.

 

« Pour que le travail soit vraiment libre, il faut que tous les travailleurs soient appelés pour leur part à le diriger, il faut qu’ils participent au gouvernement politique de l’atelier, comme ils participent par le suffrage universel au gouvernement politique de la cité ». Jean Jaurès Etudes socialistes. 1902

 

NOM

PRENOM

ADRESSE

SIGNATURE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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